R.A.A. Or Noir II

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Or Noir II

Vous pouvez poster votre récit de guerre à la suite de ce topic !

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Lt-colonel  Jack

Poste : Tue Mouche  (tunguska)
Lieu   Inguana Phare

Ben Passez mon temps à scruter, scruter cherchant une grosse Mouche Bleu dans l' Horizon Merdique de ces montagne merdique (aussi)  celle-ci ne c' est jamais manifestée  et j'ai appris qu'elle avait scratché  toute seule  

Ensuite petite vodka en écoutant les retours du groupe Hedoniel  qui jouait à Fort Alamo dans Cyao  avec Risbo Crockett  
Quand notre commandant  organisa la colonne de Secours  
Ben , Boris  en Pointe , Moi en couverture , et le tout soutenu par Hoax et Fuchs  

Petite Frayeur quand L' Ami Buzz  fut repéré et traité   ( t apprendras à retourner chez les Bleus)  

Grace au guidage de Leon je mis Ma  Boite à Couture  sur la route est de Cyao , tandis que Ben et Boris s enfonçaient dans la ville  

Et au miracle, je vis un Bleu , au loin  ,qui remontait la colline ,d' ou il était descendu quelques minutes plus tot    ,  j 'ai tenté de lui faire une boutonnière de 30 mm  mais  il a eu tellement peur qu' il c 'est planqué dans un buisson  

Abalam et son BMP3  aplatît la Zone  sous mon guidage avec son 100mm   , ensuite  vint la jonction avec les Assiégés  et le difficile comptage des Cadavres Bluefor  (pouvez pas mourir au même endroit ? ; )

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ensuite vint le difficile comptage des Cadavres Bluefor  (pouvez pas mourir au même endroit ? ; )

bein en même temps on était que 16 ça n'a pas dû être trop long    (ah si j'oubliais les IA.... )

Personnellement, après une longue période dans la steppe, à observer aux jumelles à tremblotte (j'étais à croupi...), où on voyait des ia évoluer à plat ventre au beau milieu des rues de cayo (sans doute un piège crapuleux des rouges pour nous apâter...), on a entammé une longue descente vers les  enfers, et que neni, la ville semblait déserte.

Après avoir cafouillé dans le flot de soldats US à l'entrée de la ville où tous les squads se mélangeaient, on a trouvé un bunker où étaient embusquées quelques IA, et on s'est fait hacher menu les uns après les autres.

Le seul ennemi que j'ai vu m'a fait passer dans l'autre monde sans que j'ai eu le temps de l'épauler  ;;p

mon chef était déjà mort, les IA de mon groupe étaient tombés devant moi les uns après les autres.

Je me suis bien amusé et j'en reveux, mais j'ai rien vu du combat !    (y'avais une geurre non ?   :co )

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Rapport du Lance Corporal XCite.
Opérateur sur ATGM Konkurs.

Notre mission était d'anticiper une arrivée BLUE par l'est sur Dolores et Iguana et de surveiller la passe de Valle Azul.
Opérant avec mon binôme Chacalito, soutenu par le groupe Spetz Paquito et Flashsnipe, j'ai passé une grande partie de mon temps l'oeil collé au viseur de mon tube.

Dès le début de la mission, les copains annonçaient des contacts à l'ouest, sur Cayo. Notre vigilance s'est renforcée, craignant une diversion FS sur notre flanc. Rien n'est finalement venu.

Dans la dernière partie du temps règlementaire, nous sommes partis renforcer le soutien aux troupes de Cayo, mais nous sommes arrivés après la bataille. J'ai bien eu l'occasion de lancer un AT5 sur une infanterie US mais ce type d'armement n'est pas fait pour ça.

Sinon, les entrainements ont porté leurs fruits. Bonne coordination radio, bonne équipe RED bien soudée.

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R.A.A.  Sergent major Hoax

pilote Mi17 accompagné de Fuchs en co pilote

Notre hélico se fait rôtir sur la petite île de San Tomas, un soleil de plomb, pas un arbre, pas une ombre...je scrute la côte à la jumelle et plus particulièrement la belle plage à l'ouest de Tiberia (point de naïades ou de déesses callipyges...grand moment de solitude). Cela me vaudra une belle insolation et une perte de connaissance de quelques minutes
Tout a coup des basses assourdissantes s'élèvent de l'ouest de notre minuscule île... sortie de nulle part une horde de jeunes drogués en tee shirt et bob s'agite... San marco connait sa première rave party... Deux hystériques chargés à l'acide se jettent comme des fous aux commandes du Mi et arrivent à lancer le moteur!!! Se désarticulant sur les rythmes effrénés, l'un des boulets déclenchent les flares... ni une, ni deux Fuchs sort son arme et pose du cadre éducatif, le corps sans vie de l'un des deux inconscients restera dans le Mi... je surveille du coin de l'œil le reste du groupe de d'jeuns... un des rigolos reviendra à la charge et s'installera à nouveau derrière les commandes.
Un peu agacé je reprends mon observation de la plage et des puits de pétrole, en fond sonore j'entends les doux claquements de l'arme de Fuchs qui chasse le crétin des Alpes congénital... Soudain surgit une masse dans mes jumelles, j'abaisse mes optiques et je me trouve nez à nez avec un dégénéré qui affiche un regard aussi inexpressif que celui d'une vache qu'on insémine, je sors mon flingue histoire qu'il comprenne rapidement mes intentions...
Tout le monde fini par se calmer et on peut à nouveau se concentrer.
Après 1h20 d'observation, l'ordre nous est donner de décoller, les mains complètement crispées suite aux longues minutes d'attente je prend les commandes du Mi, j'ai la pression et je dirige un monstre volant aussi agile  qu'un éléphant... bref je me met à piloter comme une buse
En appui derrière nos blindés nous faisons quelques pop up pour la forme. L'ennemie capitaliste n'est pas en mesure de venir nous déloger. Nous finirons par nous poser à Tiberia pour fêter la résistance Red.

Capitaine de soirée

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Rapport de bataille du Kaporal Bengrunt


Ce soir là, 1h30 de partie.
Je suis en binôme avec le camarade Boris. Lui en T90, moi en T80.
On se met en planque pendant 1h15, en attente de l'attaque bleue sur l'un de nos 5 villages dans le sud de Sarani et de la neutralisation de l'AH64 ennemi. Nous sommes la force de réaction rapide RedFor.

Puis, à 15 min de la fin, l'ordre est donné d'aller repousser l'attaque des bleus sur Cayo. Pour parvenir là-bas, nous devons traverser un pont, complètement à découvert, si des chars ennemi sont embusqués dans les montagnes on est mal.

Sous l'impulsion de Boris, je passe en driver et fonce, Boris juste derrière moi. On longe la plage pour rester hors de vue et on traverse le pont finalement sans encombre, mais 150m plus loin, Boris choppe un écho radar et envoi un obus dessus. Un bradley est mis hors combat.

On continue sur Cayo où notre infanterie, sous les bombardement dès le début de la partie, lutte à présent avec l'infanterie blue dans la ville même. Ils sont sur le point de se faire contourner lorsque, Boris et moi, avons pointé le bout de nos canons, après une approche très subtile par le sud de la ville.

Surpris, je me retrouve nez-à-nez avec l'ennemi. Et là gros réflexe: j'écrase le champignon et fonce entre les ruelles étroites, déjà ravagées par les combats. Voyant que l'effet désiré est bien là (comprendre : plein de gens écrasés sous mes chenilles), je continue sur ma lancée, distançant Boris et dépassant mes camarades, pour me retrouver en plein dans les lignes adverses. Mon cœur bât à 100 à l'heure tandis que mon char s'enfonce encore plus profondément (littéralement) dans leur infanterie.

Toutes les mitrailleuses de mon char font feu, les soldats blues, apparemment surpris par ce T80 sortit de nulle part, ne prennent même pas le temps d'utiliser leurs tubes.

Je fais plusieurs fois le tour de la ville et finit par retrouver Boris, resté plus prudent que moi. Les cadavres américains jonchent le sol, on ne peut même pas faire de prisonniers.

Les survivants de la défense russe commencent à sortir la vodka. Nous les rejoignons, accueillis en héros (presque!).

Et encore une victoire de Canard au travers de ces 15 min très intenses mais sublimes.

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qui chasse le crétin des Alpes congénital...

ça serait ti  pas de nous qui parle là ?   ;hihi

raciste !  :il

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Pour moi bonne partie dans la mesure ou sa a pété pas mal sans qu'on voie pour autant l'ennemie.
Au début on va moi et Kira ce cacher sous un arbre et on observe en direction de Cayo.
Et là sa pètes de partout,il en prenne plein la tronche,du moi c'est que sa semble être.
Les bâtiments s'écroule,une station service explose laissant une énorme gerbe de flammes et de fumées.
Puis c'est le château à Vodka qui explose,NOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!!!!!!!!!!
Bref je vais soigner ma peine dans un coin seul un peu à l'écart de Kira pour pas qui me voie dans cet état.

Quelques minutes plus tard et beaucoup d'explosion en plus les tirs sont sur nous.
Et la sa explose de partout dans notre petite ville,je vois une belle explosion devant moi,pis une à dix mettre derrière moi qui me pète les tympans,j'ai mon oreille qui siffle et je suis totalement sonné.
Je décide donc de rejoindre Kira sous son arbres histoire de pas être le seul con a mourir d'un tirs d'artillerie si sa devais arriver.

Et quelques tirs plus tard on décide de s'enfonce dans la ville,et là bien triste spectacle,de véritable fausse commune de nos camarade IA,on les compte,2,3,5,6 bref ils en ont eu pour leurs grades.

On se cache tout les 3 (moi,Kira et Menfin) prés des bâtiments et dessous,sa semble jamais vouloir s'arrêter.

Enfin après,des tirs plus léger claque nos oreille,du 30mm je dirais,ils sont en train d'abattre nos camarade IA un par un,on se cache dans des escalier et à labris des bâtiments,les tirs venant du Nord.
On tente quelques coup d'œil sans trop ce risquer,un soldat passe le jambes arracher,Kira et moi tentons de le soigner mais le bougre en redemande et retourne vers les tirs.

Puis un IA va détruire le Bradley qui nous tirer dessus,qui a dit qui servais à rien.
On entend des tirs venant de Cayo mais rien de particulier jusqu'à la fin,à part les gars de l'armée de l'air qui vienne ce la péter avec leurs gros engin  ;bb il transporte apparemment un clodos en pleine décuite à l'intérieur.

Enfin bref j'ai pas tirer un seul coup de feu mais j'en est pris plein les oreilles. ;up

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Du Major Seth, commandant en chef de la force Bluefor sur cette mission,

Notre unique objectif : Cayo. Nos moyens : une section SBCT à trois groupes sur Strykers, un Stryker MGS, un Abrams, un Apache.

Nous mettons en place les deux Strykers Mk19 (devenus des HMMWV Mk19 car buggés) sur Gulan, nord-nord-ouest de l'objectif. L'infanterie débarquée commence à se positionner et à observer depuis la crête plein nord de Cayo, prête à descendre dans le tahlweg qui y mène.

Les observations permettent de répérer des éléments de défense fixes et des pax (sans doute principalement les IA du kit de déf). Les Mk19 s'en donnent à coeur joie et avec précision (me semble-t-il), mais leur grenades restent un peu light pour les bunkers.

On perd l'Apache rapidement et sans qu'il ait pu faire de victime.

Les tanks, positionnés nord-ouest pilonent aussi un peu, je préfèrerais qu'ils puissent fumer des blindés ennemis mais aucun ne se montre.

Finalement l'infanterie descend sur une ville plutôt calme. La suite aurait du être une formalité : quasiment pas d'ennemi humain, le kit de déf (au moins ses IA) bien ammoché, il suffisait de faire un balayage systématique et dans les règles, puis s'installer en défense. Mais la panique saisit mes troupes trop peu entraînées, et c'est le drame : le balayage nous est fatal, pour la défense face à la contre-attaque Red, on peut oublier...

Entre temps, l'Abrams a fini par se faire cramer (toujours ces maudits Konkurs/TOW du kit de déf ?), et le MGS n'a plus de mun. L'arrivée des blindés ennemis scelle notre sort.

Bilan et points à travailler :
- inefficacité de l'Apache, très fragile et que les Konkurs peuvent asmater
- bon taf des soutiens (Mk19 et tanks)
- beaucoup beaucoup de boulot pour l'infanterie en ville

Point sur l'évolution de la campagne :
On repart de zéro. Les kits de déf sont vraiment méchants. On est en attaque et déjà en sous nombre d'humains, en plus on doit faire face à des Konkurs/TOW et AGS sacrément efficaces, même s'ils sont maniés par des IA. Quand on pense qu'IRL il faut une large supériorité avant de songer à attaquer une ville défendue, on se dit que c'est pas gagné...

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Je suis viendu, j'ai rien vu et je suis repartu...

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Il à fait beau à Dolores.

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Rapport du soldat Letigre

En appui du groupe Hedoniel dans Cayo et sous ses ordres je mets dès le départ mon BMP3 à l'abri entre des batiments.
Comme tout semble calme, Risbo, Tatu et Hédo me demandent de commencer les saucisses :il. J'installe donc le matos comme je peux dans le bmp. Je branche le barbecue électrique sur la batterie, je sors la moutarde, la vodka, enfin tout le tsoin tsoin quoi ! Au moment où je vais mettre en marche voilà que Risbo déclare voir un bleu à l'ouest de Cayo derrière une crête. Du coup je ne sors pas encore les saucisses de la glacière que j'ai emporté avec moi (la dernière fois j'suis l'seul à pas avoir bouffé alors j'avais prévu ! ).

Bien m'en prends car Hedo soupçonne que l'attaque est pour nous. Il m'ordonne de sortir de mon char et d'aller me planquer loin de lui car un apache a été vu. Il me faut quelques minutes pour comprendre qu'il s'agit d'un hélico, que je ne suis pas un sioux et qu'en face il ne s'agit pas du général Custer et du 7ème de cavalerie ! Néanmoins j'obéis sagement.
Et je fais bien car voilà qu'un bombardement sur Cayo commence. "Restez tous couchez" dit Hedo dans la radio. On s'exécute. Non d'un chien, c'est flippant d'entendre tomber des trucs pas loin de soi, de voir des bâtiments partir en fumée ou d'autres exploser !! Le pire c'est que ça dure. 30mn, 45 mn ? je ne sais plus mais quel soulagement d'entendre Hedo annoncer que finalement aucun de nous n'a péri sous les obus bleus !  ;up
Mais pas le temps de trop rire, l'attaque sur Cayo est lancée et Hédo me demande de remonter dans mon bmp.  J'entends des tirs sur ma droite, sur mes arrières, Hédo qui lance des ordres à Tatu et Risbo et qui déclare qu'il faut tenir coûte que coûte ! Put...j'commence à avoir chaud dans ma caisse, surtout que je m'aperçois que j'ai oublié de débrancher le barbecue  ;. D'un autre côté j'suis impatient d'en découdre. Vais-je pouvoir enfin croiser le fer (ou du moins le canon) avec l'ennemi ?! J'espère et je le redoute en même temps car j'y vois rien dans ma caisse. Aucun champ de vision d'autant plus que je suis toujours entre les bâtiments ! :co

Hedo sait également que je ne vois rien et que je suis vulnérable. D'autant plus qu'il semblerait que les bleus tentent de nous contourner et donc d'arriver droit sur moi. Du coup Hedo me donne l'ordre de foncer me replier sur Tibéria après m'être entouré de fumis. Pour ce faire je sors de mon char. Grrr fatale erreur ! Mon c...de conducteur IA démarre tout seul et se met en plein découvert sur la route. Nom d'une pipe j'ai juste le temps de sauter dans ma caisse et de donner l'ordre à cet abruti de foncer droit au sud. Je rage. L'ennemi est si proche et et je dois replier !  :grr Pourtant Hedo a raison, seul sans soutien d'infanterie et sans visibilité je suis un fauve bien vulnérable 

Je m'aperçois soudain que dans l'affolement j'ai pas donné un ordre de direction parfait et me voilà dans l'eau sous le pont qui mène à Dolorès ! Pire, une odeur de gras fait que je m'aperçois qu'en montant précipitemment dans mon bmp j'ai renversé toutes les saucisses !!  ;bb

Pfff rien ne va plus. Je crains pour mes compagnons resté à Cayo d'autant plus que je n'ai plus de connexion avec eux, notre grand chef m'ayant switché sur la canal à Abalam. Je remplace mon chauffeur du dimanche à grand coup de pieds au c..et fonce aussi vite que je peux au sud de Tibéria où je rejoins Aba. A peine suis-je arrivé que Tora me lance il me semble un ordre dans la radio en même temps qu'un autre tankiste se met à parler. Du coup je ne pige pas ce que je dois faire. A peu dérouté, je suis Aba que je vois et entends tirer sur un stroumpf à priori caché dans les bois au nord de Cayo.

Je n'ose pas faire de même, le tir courbe m'étant tout à fait inconnu encore. De toute façon je ne sais pas où le stroumpf se cache !
Finalement on annonce à la radio que Cayo à résister brillament et que mes compagnons d'un soir s'en sont tous tiré sans une égratignure de part une défense remarquable et de part l'appui peu conventionnel mais néanmoins brillant de nos tankistes Boris et Bengrunt  ;s

Heureux de cette victoire, heureux de finir encore vivant malgré toutes les prédictions qui m'avaient été faites lors de ma candidature comme tankiste, avec néanmoins un petit pincement au coeur d'avoir été obligé de me replier sans combattre, je fonce rejoindre Cayo où mes camarades défouraillent leurs dernières cartouches dans les airs pour fêter la victoire et entassent les cadavres de nos ennemis comme s'ils voulaient en faire un bûcher !  ;hihi.  ;redfor

Belle soirée !  ;ontatend

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A.A.R. du Lance Corporal Menfinovitch, CdE groupe Odessa

De part l'absence du CdG Phage me voilà promu Chef de Groupe, arg !
Sous mes ordres Kira en second et Poliakov en troisième. Abalam en BMP est aussi dans le  groupe Odessa. Et 6 IA en poste fixe.
Après un petit moment de flottement bien compréhensible dû à un réglage radio un peu laborieux et après avoir récupéré le Strella, je fixe un point de RDV au NO de Tiberia à mon Groupe de Combat. Abalam avec son BMP reste dans sa planque à l'abri.
Je demande à Kira et Poliakov de rester ensemble et de se trouver un spot pour avoir un visu sur Cayo, je dispose ensuite mes IA en lisière de la ville pour avoir un visu sur le flanc sud des collines à l'ouest de Cayo. Je demande aux IA en poste fixe de surveiller les alentours de Tiberia, de l'ouest à l'est de la ville.
Voilà tout le monde est en place, Kira commence à vouloir sortir le barbeuc et Poliakov, les saucisses et surtout la vodka que sa Grand-mère ukrainienne lui a envoyé. Ca tombe sur Cayo !

'tain ! ça claque sur Cayo. Ensuite le château d'eau est bombardé et détruit. Et là, je ne sais pas ce qui lui a pris mais Poliakov se met à hurler : « non !! pas le château à vodka ! NoooooooooooOOOOOooooooooon ! » Je le soupçonne de ne pas avoir sorti toute la vodka de la Grand-mère et de l'avoir planquée là haut.
S'en suit une suite de salves sur Cayo pendant un bon moment mais d'après les rapports qui me parviennent, tout va bien, on ne dénombre aucune victime.
Du mouvement de troupes Blue sont signalés au NO de Cayo, l'Apache est repéré à son tour, par intermittence.
Baba, du groupe Stalingrad qui est en contact  avec nous, me signale un blindé avec des fantassins au nord de Cayo. Mais la cible est trop incertaine pour ouvrir le feu. Je demande au groupe de rester vigilant et de bien rester à l'abri.
Et là, ça tombe sur nous et pas loin ! Ca ne pète même pas très loin de Poliakov qui est bien sonné. On se planque vite fait ! Un groupe de « patrouilleurs » IA se fait défoncer la gueule, plusieurs sont touchés, quelques uns d'entre eux restent sur le carreau. Silence... Des explosions plus sèches crépitent derrière nous, je vois un bâtiment qui se prend une rafale de 30mm... Mon n°4 se fait descendre... Un tireur en poste fixe touché d'ailleurs il mourra un peu plus tard de ses blessures... Ça claque dans la rue, on se magne le cul pour se mettre à l'abris un peu plus loin, dans le centre du bled. Un escalier, des murs, deux raisons pour s'engouffrer là dedans. La tension est bien montée, oublier le barbeuc et la vodka. On en arrive même à entendre des silencieux dans le secteur. Ca continue de claquer, on essaie de voir d'où ça vient. Je me déplace en limite de lisière de la ville, je prends mon télémètre, je scrute le lointain et au nord un silhouette suspecte, j'ai pas plus tôt fini de la signaler que n°13, ah le brave homme, lui envoie un missile dans sa face... une flamme au loin. Retour à l'abri au centre ville derrière notre mur préféré
Mais Polia continue de percevoir de l'audio de chenille, 'tain il a l'oreille fine le bonhomme !
Au bout d'un moment effectivement on entend bien le bruit caractéristique des chenilles vers l'ouest de Tiberia. Je le signale immédiatement à Baba. Le sifflement du Konkurs se fait entendre... Je demande à Baba s'il a eu il me répond, pépère, qu'il lui en met une deuxième couche  manière d'être sur. Un deuxième sifflement et confirmation de destruction.
Là, notre Chef vénéré, Tora reforme en binôme les blindés et les envoie en soutien des troupes de Cayo.
Nos troupes tiennent Cayo. La tête de pont tient toujours.
Kira et Pliakov devant l'hélico de Hoax et Fush

FIN DE RAPPORT

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Il à fait beau à Dolores.

Ouais heureusement que Reaper est tombé des escaliers. Ca a mit un peu d'animation.  ;hihi

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Rapport du sergent Hédoniel

C'était une très belle journée....A notre arrivée sur Cayo, la ville était déserte car les civils avaient due fuir lors du dernier accrochage. Tout paraissait calme et silencieux et rien ne paraissait présager du combat qui allait se dérouler.

Au début de l'opération et dans le calme, nous faisions le point sur l'armement et les besoins de chacun. Nous échangions avec Tatu mon Gp25 car il devait tenir l'entrée Sud et je tenais à ce qu'au premier contact, le premier se prenne une balle et qu'une patate soit lancée pour blaster les suivants. Mais avant de nous placer pour le contact, j'envoyais mes valeureux gars en observation, afin de donner le maximum d'infos à notre camarade CDC. Je demandai aussi à Tigre de planquer son char et de faire le plein de fumigène.

Tout était réglé comme une horloge. Au vue des observations, Risbo mon second repéra un éclaireur et s'en suit de contacts avec des blindés au nord de Cayo. Ça ne sentait pas bon et dans la minute qui suivit, le pilonnage commença. Il y eut des pauses, mais il m'a semblé qu'il dura bien trois quarts d'heure. Je ne craignais ni pour moi ni pour Risbo, vue notre position, mais je craignais pour Tigre et surtout pour Tatu qui pourtant bien abrité, avait des chances de se faire taper par un tir parabolique.

Je ne sais plus d'où est venue l'info mais maintenant, il était clair que les ricains étaient aux portes de Cayo. Ordre était de se mettre en position pour les recevoir. Tigre devait rejoindre son char, Tatu défendre l'entrée Sud, Risbo le passage Nord et je restait avec lui en tir croisé car il y avait de fortes chances qu'il allait être le premier au contact...et à partir de là, le temps n'existait plus vraiment. Les premiers ricains à se montrer se faisaient faucher par Risbo, qui n'en finissait plus de vider des chargeurs. Au ton de sa voix, il avait de l'adrénaline à revendre. L'ennemi était de plus en plus nombreux et je demandais à notre CDC de renvoyer Tigre au Sud, malgré son envie d'en découdre, car j'étais persuadé qu'il allait se faire dessouder et le char en premier...Se fût au tour de Tatu d'être en contact au Sud et bien qu'après avoir eut très chaud suite aux bombardements, il resta alerte et riposta sans faille.

Je sentais que nous allions avoir du mal à tenir, les contacts se faisaient à moins dix mètres et je fût blasté par deux grenades. Bandages et épinéphrine étaient les bien venus. Tout allait se jouer dans les minutes proches et à ce moment, à cinquante mètres de nous, je vis un arbre se coucher et le canon d'un T80 passer derrière le mur. Quel soulagement, la cavalerie pointait le bout de son canon et dans un élan patriotique se lançais dans la recette de la « chenille aux boulettes de viande » et tir coaxial....

C'était la fin des combats. Le piège avait bien fonctionné, mais lorsque je fit une ballade sur le champ de bataille, je fût surpris de voir une telle boucherie. Les cadavres jonchaient le sol et nous étions vivant. Il ne me restait juste qu'une IAmovitch ensanglanté mais toujours agrippé à son Agskm. Le silence du début réapparut comme si rien ne c'était passé.

Fin de rapport.