[Bloody Sand] M04 Jeudi 23 mai 2013

Démarré par Cirav, 23 Mai 2013 à 23:06:23

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Cirav



R.A.A. Mission 03 - Bloody Sand
Jeudi 23 mai 2013



Victoire Bluefor


Schoumy

En tant qu'ancien tankiste, j'essai naturellement de me trouver des véhicules pour les opération ... aujourd'hui je n'ai trouvé qu'un Land Rover avec un canon sans recul monté dessus ... pas très glamour.

J'étais censé être en binôme avec Smarko ... mais il ne devait pas être très en forme, ou victime d'insolation, parce qu'a peine sorti de la base, il a commencé à se sentir mal ... je le signale et il est remplacé par Ofast.

Notre mission d'aujourd'hui : surveillé l'axe de nord est de Tropicaville et empêché toute intrusion terroriste. La tâche ne sera pas évidente, la zone est traversé par une vallée où la végétation offre de nombreux couverts.

Nous nous postons en haut de la vallé, coté Tropicaville. Nous avons une vision totale sur la zone, mais prenons le risque d'être repéré de loin.

On voit le soleil se coucher au loin, mais il fera jour encore quelques heures. Ofast profite de ce calme pour parler à sa fille (merci les téléphones satellites). Nous scrutons l'horizon.

Une détonation se fait entendre au loin. Sur la radio on parle d'un "ZSU" intercepté. D'ici nous ne voyons que notre VAB qui roule très loin au nord. Toujours rien de notre côté.

On se déplace régulièrement pour varier les points de vues et éviter de se faire repérer. Quand soudain Ofast me signale du mouvement très loin dans la végétation. J'en informe le QG mais nous perdons de vu le contact ...

Quelques minutes plus tard par contre, nous voyons nettement un vehicule venir de l'est avec un groupe d'infanterie. Ofast engage, mais le matériel n'est pas très high tech et il lui faut plusieurs tirs pour traiter la menace.

Nous nous déplaçons ensuite pour éviter la contre attaque et toujours conserver l'avantage de la portée de notre arme.

Le combat fait rage un peu partout mais nous gardons notre sang froid.

J'aperçois un peu plus tard un ennemi tenter de se faufiler entre les feuillages dans la vallée. Ofast l'engage mais se retrouve a cours de munition.

Nous déposons donc notre véhicule et partons renforcer la défense du palais avec Menfin et Elliot sur le toit.

Ca canarde d'un peu partout, la ville est infiltré mais notre défense est solide.

Nous descendons avec Ofast vers l'antenne qui semble sur et nous recroisons Holy et Djo qui nous annonce avoir nettoyé la ville.



Très sympa comme partie, la communication s'est bien passé et la carte était sympa. Je remercie Ofast qui a été un tireur très efficace et les organisateurs de la partie qui ont fait un sacré bon boulot.


Stalker

#2
Alors pour commencer, je souhaite que mon R.A.A soit transmis au médecin en chef des armées. Ou a n'importe quel ophtalmo de notre armée ! Pour mon retour, après une semaine de vacance aux Maldives aux frais de la princesse, j'étais de retour pour ce qui devait être une belle revanche contre ces rebelles !

Je suis dans le groupe de Prax, les vieilles habitudes sont les meilleures ! Et j'ai le droit à une belle M249, ainsi que la place de pilote du VAB. Tout ça me plait, et j'ai hâte de me mettre en route. Avec nous, d'autres gars que je ne connais pas trop, certainement là à cause des nombreuses pertes de notre camp lors des derniers affrontements. Avec comme tireur du VAB, le petit nouveau Alex. Que je surnomme maintenant la taupe. Non parce qu'il est un espion infiltré, mais parce qu'il partage la même acuité visuelle que la taupe.

On part tous dans le VAB, trajet rapide jusqu'à l'usine CEMTEX. Les autres protèges la ville de Tropica, et nous, on doit trouver et surveiller les déplacements des rebelles. On lâche le VAB et nous postons un peu plus loin sur une ligne de crêtes, à l'abri de rocher. Manque de bol, c'est eux qui nous trouve en premier, on se replie rapidement sous les tirs d'un "gros canon qui fait beaucoup de bruit installé sur un camion".

On reprend le VAB, Alex et moi, pour faire une petite patrouille sur la ligne de crête, tandis que Prax et les autres, patrouillent à pied dans les environs.

C'est dix minutes plus tard que j'apprends que mon tireur Alex, n'y voit pas plus loin que le bout de son canon, alors qu'avec ce temps, si je me retournes, je suis capable de voir le Président de Tropica se gratter les cou**** dans son palais ! Bordel. Je rage intérieurement, "il pouvait pas prévenir le CDG ?". Je me dis, tout ira bien, tout ira bien...

Je spot le camion au gros canon, plein ouest, et je préviens Alex.  J'ai comme réponse :  "ou ça ?!"  J'hurle "A l'ouest !"  mais toujours rien, alors j'essaye " A gauche putain !" au cas où. Mais il est incapable de voir le camion, à un peu plus de 500 mètres de nous ! Alors je décide de faire un replis, parce que sans tireur capable de voir un éléphant dans une boutique de porcelaine, je ne donne pas chère de notre peau. D'ailleurs, c'est lui la première victime, parce qu'au bout de 45 secondes, le camion nous a enfin vu lui aussi, et son tireur ne semble pas aussi aveugle que le mien... Notre VAB prend chère, et Alex perd la vie. [BLUEFOR CENSORSHIP]

J'essaye de prendre la fuite à pied, dans ce désert, mais pas difficile pour le tireur du camion de me repérer, et de m'abattre.

Avant de mourir, je me dis que plus jamais dans mes autres vie, je ne veux d'un tireur qui ne voit pas plus loin que son nez. Alors maintenant, j'emporterais avec moi un tableau d'ophtalmo, et mes tireurs passeront le test avant de prendre place !

Schoumy

Le pire c'est qu'Alex pilotait des hélicos sur les dernières missions  :mdr:


Prax



Stalker

C'est ça le pire Schoumy...   :mdr:

C'est pas de ta faute Prax, tu peux pas être au courant de la config' des bécanes de chacun des gars ! Les gars ils doivent prévenir quand ils tournent avec une config' basse. Surtout que sur ce coup là, Alex il savait très bien que ça machine ne lui permettait pas d'y voir plus loin que le bout de son canon, donc dans ce cas là, c'est au gars de prévenir, et de dire " Ah mais non, j'y vois rien, alors je vais pas faire tireur sur un véhicule". On se doute bien que tireur sur véhicule, c'est pas pour du close...surtout dans le désert...

ricco

RAA Soldat Ricco
Groupe rebelle prévu en groupe d'assaut

Hier soir c'était la fête dans le village, après notre victoire sur l'aéroport, nous comptions bien nous débarrasser définitivement des étrangers et du même coup du traître qui les a fait venir en attaquant directement Tropicaville.
Après une grosse cuite, je me retrouve dans le bidon ville avec un gros mal de crâne. Le soleil est déjà haut, je n'entends aucun bruit, je me dis que tout le monde pionce encore. Je me déplace tant bien que mal vers le campement, et je ne comprends toujours pas que tout le monde est déjà parti avec armes et bagages.
Je me sens bien seul et regarde autour de moi avec un sentiment désagréable d'abandon. Je cherche désespérément un moyen de participer à la bataille. A pied, j'en ai pour deux jours avant d'arriver à Tropicaville, et puis c'est le désert... Je vais être le paria de la tribu, si je ne participe pas à la bataille avec les autres. Tout est sans dessus-dessous, les caisses de munitions sont vides, les véhicules n'ont laissé que des traces au sol, seuls les papiers et les chiffons continuent de faire la fête en virevoltant sur le sable.
Alors que tout espoir s'envolait, je suis intrigué par un objet imposant dissimulé par un filet de camouflage, je me précipite, tire le tissu et me retrouve devant un ural en état de marche. Le groupe a du partir avec un minimum de véhicules pour rester le plus discret possible à l'approche de la ville.
Je saute dedans, cherche dans la boite à gants... enfin, les gants, c'est peut-être inapproprié de par chez nous. Je découvre une carte jaunie par le soleil qui va me guider vers le Sud.
Heureusement le plein est fait, il y a même une kalash à l'arrière. Je démarre et, sur le parcours, je me rappelle encore du briefing du chef, hier soir. On devait longer la plage et pénétrer dans les faubourgs de la ville basse.
Je plante généreusement l'ural dans un pli de la côte, et je finis à pied. Ma radio, vestige d'une rencontre avec les blancs, crépite suivi d'un long silence quand j'essaye de contacter mes amis. Les premiers échanges me parviennent par les nombreux échos du relief. J'arme mon fusil, mais la culasse se verrouille, je ne peux pas tirer. J'ai bien quelques grenades mais, en pleine ville, c'est pas l'idéal.
Je longe les dédales, essaie plusieurs fois la radio, décidémment non, je suis seul.
De la plage je bifurque vers les premières maisons abandonnées puis, à tâtons, rejoins le quartier haut. Nouvel essai infructueux de la radio mais j'entends cette fois-ci mes compatriotes. Je prends une grande respiration et me faufile dans les ruelles. Mon premier contact sera une mitrailleuse que je laisserai derrière moi. Il me faut prendre de la hauteur pour identifier des voix proches de moi. Je reluque une maison détruite par le feu disposant d'un étage, cela fera l'affaire. Avec précaution, je m'approche d'une fenêtre et reconnait les tenues du front de libération Tropicaine, il s'agit même de mon propre groupe avec Ruskoff qui me détecte. Je prends fébrilement la radio et lui indique plusieurs fois que le gus qui est à l'étage est son ami d'enfance.
Deux potes à lui du village voisin Soe l'accompagnent. Ils m'intiment l'ordre de les rejoindre. Une fois regroupés, je leur indique mes déboires avec le pétoire.
On me refile un revolver et ses munitions, ce sera mieux que rien.
On apprendra peu de temps après que nous sommes les derniers combattants. Parmi les décombres nous avançons prudemment tentant de prendre par surprise un ennemi qui attend sagemment la gueule ouverte. A 50m de l'antenne de communication, nous rampons en essayant d'être à l'abri des regards des sentinelles.
Niko et moi passons devant, il a les charges satchel pour détruire cet amas de ferrailles, j'ouvre le chemin. Ouvrir est un bien grand mot avec les barbelés et les sacs de protection empêchant toute progression. Le chemin est uniquement ouvert vers un trou de souris pour nous amener vers le vilain chat.
C'est le contact, pas celui qu'on croit devant nous, mais par des soldats venant dans notre dos. Ma face se colle à la terre, un mince filet de sang surligne mon ombre sur le sol.

Elliot



Iceberg

Quelques screens et vidéo à venir!











Papanowel

#9










Trois critiques à émettre concernant la partie:
-Le lag et les mini saccades qui ont pourri la fin de partie (je pense à une personne se connectant avec de mauvais addons).
-La ville bien trop barricadée pour qu'une attaque soit viable, Toutes les petites ouvertures étaient facilement défendable.
-Trop de défenseurs (vu le nombre de barricade), à la limite, j'aurais mis moins de défenseurs et plus d'attaquants.

Malgré tout merci pour la partie (qui fut trop courte pour moi, un tk a eu raison de moi)

Menfin

Oui, j'aurai du mettre les invités dans le camp rouge afin d'essayer d'avoir au moins du 2 contre 1 en attaque. On recherche toujours l'équilibre mais c'est vrai que je n'attaquerai jamais avec du 1vs1 mais au minimum 2 contre 1 et si possible 3 contre 1.
La ville trop fortifiée? C'est vrai que je me suis laissé porter par mon enthousiasme !! Mais, à ma décharge, les fortifs? Un coup de RPG ou de ZU-23 et a pu ! ;D
Je prépare une TvT avec le pack OFrP vs insurgés et je prends note de toutes les remarques pour essayer de ne pas reproduire mes erreurs ;D


Papanowel

Il est de toute façon difficile d'avoir quelque chose d'équilibré sans au préalable l'avoir testé  et éprouvé :)

Djo

Rapport de mission : Soldat Djo

Nous avions été informés que les rebelles risquaient de donner l'assaut final aujourd'hui, le plan de bataille était clair. Nous devions embarquer dans le VBL avec notre supérieur, Elliot qui allait nous poster pour monter la garde le soldat Holy et moi même.

Arrivés au sud de la villa, dans la ville nous devions nous poster en haut d'un bâtiment et scruter l'ouest-sud ouest et reporter tout mouvement ennemi. Après quelques minutes, le chef de camp me contacte par radio "Djo, on a perdu le contact avec la patrouille motorisée de Deadalus, donc tu prends un binôme et tu vas en Bb 68-69 et tu rends compte de la situation".
En soldat discipliné j'accuse réception, j'informe Holy et nous voila partis. Je prend le volant, lui monte en tireur. Nous arrivons prêt de la zone, mais Deadalus réapparaît sur les ondes. Demi tour, nous retournons donc à notre poste de surveillance.

Aprés quelques minutes de calme, "De Elliot, Djo tu reprends ton binôme et vous allez au niveau de la pate d'oie sur carte au sud ouest. Soyez vigilants, des contacts ont été signalés." Nous voila repartis, je prend le VBL et me rend sur place. Nous entendons des explosions, et en nous retournant vers notre Position initiale nous pouvons observer le Land Rover de Schoumy et son canon monté faire feu sur des ennemis que nous ne voyons pas. Je demande à Elliot si les contacts ont été localisés, il me confirme que oui et m'intime l'ordre de reprendre notre position.
Pas rassuré de notre position à découvert, je m'empresse d'obéir et nous retournons à toute vitesse à notre poste d'observation.

Quelques instants plus tard, Eliott nous demande d'apporter un soutien à Deadalus en Bb 69, nous voila repartis à nouveau... Arrivés sur place, pas de signe de Dead, nous montons la crête devant nous. Holy scrute les alentours quand tout à coup je tourne la tête sur la gauche et je vois en contrebas vers la place un petit groupe d'individus réagir à notre présence. "Contact! En contrebas!" Holy tire quelques coups de semonce, puis je recule pour nous mettre à couvert. Une grenade explose non loin de notre VBL. Je signale les contacts par radio et fait demi tour pour trouver un couvert à l'entrée de la ville basse.
Je positionne Holy dans l'angle d'un batiment qui reste en tireur dans le VBL et moi je couvre un autre angle en m'abritant derrière un mur écroulé, mais je ne vois plus personne. Aprés avoir indiqué les coordonnées au mortier, je décide de partir observer la partie de la ville qui donne sur la plage en contrebas. Je tombe né à né avec un ZU dont le tireur est mort. Je rend compte à la radio et là, j'entend des voix faibles.... Les rebelles sont en ville!

Je fais demi tour, je l'indique à Holy qui sort du VBL et me rejoint pour les traquer en ville. Nous nous arrêtons d'abord dans un angle pour reporter la situation à Elliot par radio. Et là.... le voile blanc, un sifflement horrible.. je me pense mort, mais je réalise que je peux courir, ce que je fais pour me mettre à l'abri dans un renfoncement pas loin de ma position. Je ne sais pas si Holy est mort... je me couche, j'attend... et la Holy me rejoint! Nous avons eu la même idée... Nous restons là pendant plusieurs minutes sans bouger et entendons les rebelles :"Les enfoirés... ils ont pas pris la grenade! Ils sont où? Faut les trouver..." Puis aprés quelques minutes ils semblent nous avoir oubliés. Je me lève et vais regarder : plus de trace de eux.

Je profite de la situation pour en tirer avantage : ils sont partis en ville pour progesser, nous pouvons nous lancer à leurs trousses et les traquer... Holy et moi nous lançons alors dans une véritable traque à la manière des forces spéciales, angle par angle, batiment par batiment, nous nous couvrons mutuellement. Au bout de plusieurs minutes, Prax nous fait savoir que son groupe nous a repéré depuis une crête à l'extérieur de la ville et nous couvre, il nous donne des indices sur les positions ennemies.

Holy et moi décidons aprés les avoir repérés de les contourner en restant à couvert en ville. Ils se sont abrités dans une cuvette juste en dessous de l'antenne de télécommunication. Je décide de monter à l'étage d'un bâtiment et là, je vois un rebelle avec un RPG sur le dos ramper vers l'antenne. Je n'ai aucune considération pour sa vie, ils ont tenté de nous supprimer à la grenade quelques minutes plus tôt, c'est le moment de me venger, j'aligne ma mire, je fais feu une fois - il est touché- deux fois, je l'ai eu! "Tango abattu, je répète tango abattu".

Nous descendons de l'immeuble, nous sortons du couvert et nous rapprochons de son corps, sur le chemin, Holy s'arrête il en a repéré un autre en bas de l'immeuble en ruine en face de nous, il aligne, tire, "Un autre tango a été supprimé!".

J'arrive au niveau du premier rebelle abattu, je lève la tête il en reste un à 50 mètres juste en face de moi, je pense qu'il m'a vu étant à découvert j'ai tout juste le temps d'ajuster et de tirer plusieurs rafales, Holy l'a manifestement repéré aussi et m'appuie aussitôt. Le rebelle s'affaisse, raide mort.

Quelques instants plus tard, le message radio "Tous les rebelles ont été traités".

Holy et moi récupérons des prises de guerre sur les corps inertes et retrouvons nos camarades survivants pour fêter la fin de leur insurrection et percevoir notre prime auprès du colonel local.

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Super mission!

Merci M'enfin! :bluefor:



Niko

#14
Sympa le petite vidéo de nos "exploits"  :redfor:

Je rejoins l'avis de Papa. Trop de barricades, barbelés... Il nous aurait fallu des pinces coupantes.